Introducing Vittorio Grigolo, Video by New York Times
Vittorio Grigolo, une étoile montante dans le monde de l’opéra a fait ses débuts au Met comme Rodolfo dans la production populaire de Franco Zeffirelli de La Bohème. Considéré comme beau, énergetique, charismatique, exubérant et doté d’une voix vibrante, M. Grigolo était un Rodolfo charmant et passioné. À 33 ans, M. Grigolo semble prêt pour un succès continu. Pourtant, j’ai des doutes sur sa voix. Elle est essentiellement celle d’un ténor lyrique italien et M. Grigolo pouvait façonner des phrasé de Puccini avec une ardeur naturelle, une tendress et une texture riche. Sa voix lui a aussi permis d’atteindre facilement le contre ut à l’apogée de «Che gelida manina», mais était encore trop vive et étroite dans son vibrato, manquant de chaleur.
M. Grigolo est certainment apparu comme un chanteur qui sait ce qu’il fait malgré les rumeurs sur ses insuffisances techniques, mais son phrasé était encore plat et sourd en comparaison du Rodolfo de Luciano Pavarotti—qui, à mon avis, était l’un des meilleurs rôles de M. Pavarotti. Sa perfomance n’a pas été aidée par le chef d’orchestre, Rizzi Brignoli, qui a mis le tempo trop lent et a donné une trop grande latitude aux chanteurs, perdant la ligne de la mélodie dans certaines sections. Peut-être que ce n’est pas juste de comparer ce novice à M. Pavarotti, dont j’ai écouté l’enregistrement de La Bohème avec Mirella Freni des centaines de fois.
Les autre chanteurs dans le programme étaient également compétents; J’ai aimé particulièrement Marcello, chanté par le jeune baryton italien Fabio Capitanucci. Mimi, jouée par la soprano lettone Maija Kovalevska, s’est améliorée beaucoup dans les Deuxième et Troisième Actes, malgré les notes hautes tremblotantes. Le décor était kitsch et beau, évoquant les tableaux impressionistes français et un parc d’attraction bariolé de Disney à la fois
Kira Nam Greene’s work explores female sexuality, desire and control through figure and food still-life paintings, surrounded by complex patterns. Imbuing the feminist legacies of Pattern and Decoration Movement with transnational, multicultural motifs, Greene creates colorful paintings that are unique combinations of realism and abstraction, employing diverse media such as oil, acrylic, gouache, watercolor and colored pencil. Combining Pop Art tropes and transnationalism, she also examines the politics of food through the depiction of brand name food products, or junk food. Recently, Greene started a figurative painting series spurred by the 2016 Presidential Election, Women’s March, #metoo movement and ensuing crisis of conscience, this new body of work aspires to present the power of collective action by women.